Haro sur les commerces mentonnais

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puceorange.gif Il n’est pas une semaine sans que ne parviennent à nos oreilles les difficultés qu’éprouvent un à un nos commerces de l’hyper centre-ville, là où se concentrent tous les passages : la rue St Michel, la place Clémenceau, les Halles. Ici, sur 4 boulangeries n’en subsiste plus qu’une, sur 4 boucheries plus qu’une aussi, tant qu’on ne les attaque pas sur les rôtissoires à l’extérieur ! Passé 20h, tout est fermé ; dormez Bonnes gens.

puceorange.gif Une équipe municipale aurait pourtant tout son rôle à jouer : encourager les commerces de bouche pour les mentonnais sans quoi nous nous retrouverions bientôt qu’avec des citrons et des savonnettes à la lavande. Exercer un rôle de juge de paix entre des riverains qui choisissent de vivre en centre-ville mais qui dans le même temps ne supportent pas le bruit des assiettes passé 20h. Etendre l’activité vers l’ouest et les jardins Biovès.

puceorange.gif Or qu’avons-nous ? Dans une ambiance de fin de règne, des coteries s’ingénient à organiser le silence après 20h, à aseptiser tout le centre comme si le musée Cocteau étendait ses tentacules à tout le quartier. Plus à l’ouest, pas un podium sur les jardins Biovès pendant la fête de la musique pour faire travailler les commerces et soutenir un chiffre d’affaire en berne. Des colloques en octobre mis en DSP et passés de 4 samedis à 2 samedis.

puceorange.gif Décidément, nous avons une autre ambition pour Menton. Car redynamiser le centre-ville dépasse la seule problématique du commerce : il faut partir des usages des habitants actuels et futurs, puis imaginer ce que sera le cœur de ville de demain, lequel aura peut-être changé d’emprise, d’accès ou de forme. Nous aurons l’occasion d’en reparler.

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